Diversification de l’activité : pourquoi se spécialiser quand on est kiné, épisode 3

Passion, enjeu financier, développement culturel… Quelle que soit la motivation, de nombreux masseurs-kinésithérapeutes suivent des formations poussées pour se spécialiser. Et donc pour diversifier leur activité, avec de vrais bénéfices. Comme celui lié à un centre d’intérêt particulier, qui constitue le propos de ce 3e épisode dédié au sujet.

 

Utile et agréable, rien d’improbable

Lier l’utile à l’agréable ? Oui : se spécialiser quand on est kiné, c’est aussi se faire plaisir ! Que ce soit par un contexte et des circonstances favorables durant l’expérience professionnelle (formation initiale, remplacement, exercice en salarié ou en libéral…) ou par un certain attrait présent depuis plus longtemps, des centres d’intérêt naissent naturellement. Et diversifier son activité, c’est l’occasion concrète de s’en rapprocher !

 

Retrouvez le 1er épisode portant sur l’épanouissement

 

Se former, pour répondre à ses envies 

J’ai commencé en étant assistante et dans mon cabinet, on m’a guidée vers la thérapie manuelle grâce à deux collègues déjà formés. Cette spécialité répondait à un centre d’intérêt individuel particulier, et je me souviens que continuer à se former était déjà perçu comme quelque chose d’indispensable”, témoigne ainsi Arielle Attal, kiné libérale exerçant à Le Vésinet.

 

Ne pas oublier… de s’organiser !

En revanche, savoir s’organiser pour profiter au mieux de sa spécialité reste indispensable. “Un planning quotidien ou hebdomadaire coupé en deux, avec une demi-journée ou une demi-semaine réservée à la spécialité et le reste à la kinésithérapie générale, pourquoi pas ?”, propose Antoine Couly, kiné libéral lui aussi (à Levallois-Perret). Avant qu’Arielle Attal, sa consœur, ne donne son propre exemple de planning : “Je travaille 3 jours par semaine, et je vois chaque patient 1 fois par semaine. Je n’ai pas d’organisation particulière, mais je privilégie des patients de rhumatologie. Si j’ai un patient qui m’appelle et qui me demande des séances pour un genou opéré, par exemple, je décline, faute de plateau technique pour pouvoir mener à son terme la rééducation.” D’où l’importance d’accompagner les professionnels de santé dans la gestion de leur emploi du temps, avec des outils numériques notamment.

 

 

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