Ostéopathe, une patientèle à portée de main

Comment bien réussir son installation ? Question simple, réponse plus compliquée. Raison pour laquelle Doctolib a réalisé une étude dédiée à ce sujet, qui donne notamment toutes les astuces pour composer et fidéliser votre patientèle. Laquelle tombe souvent sous le charme d’un sourire, c’est vous qui le dites !

 

Présentation, s’il vous plaît !

Une patientèle, ça ne tombe pas du ciel. Surtout lorsqu’on est ostéopathe, et qu’on souhaite s’installer dans un nouvel endroit. Mais pas de panique, les solutions existent ! Celle que vous mettez souvent en avant ? La rencontre avec les autres praticiens. “La première règle, c’est de se présenter. Je ne comprends pas qu’un ostéopathe ne se présente pas à ses confrères quand il s’installe, indique ainsi Guy Villemain, ostéopathe à Solliès-Pont et Pionnier Doctolib. Se présenter auprès des autres ostéos, donc, mais aussi des professions annexes. Auprès des médecins, des acupuncteurs, des paramédicaux comme les infirmières, les kinés, les orthophonistes…”

 

Connaissance en ligne

Par ailleurs, outre le bouche-à-oreille, des astuces digitales existent. Pour se faire connaître, mais aussi pour fidéliser ses patients. Comme :

  • un agenda en ligne ;
  • un site Internet ;
  • une page Facebook et/ou Instagram ;
  • un compte Google My Business.

À l’époque où je me suis installée, les plateformes comme Doctolib n’étaient pas encore très développées. Alors, je me suis d’abord inscrite sur les Pages Jaunes, raconte Mathilde Depierre, ostéopathe à Louvres et elle aussi Pionnière Doctolib, dans notre étude portant sur l’installation des ostéopathes. J’ai aussi démarché commerçants et professionnels de santé, rencontré les boulangers et les coiffeurs... Parce que ça permet de faire parler de soi. Et puis… J’ai attendu ! Aujourd’hui, j’ai une petite page Facebook et un site internet. Sans oublier Doctolib.

 

Une bonne ambiance, et le tour est joué

Enfin, la bonne humeur à votre cabinet associée à votre sympathie semblent indispensables. “Avoir le sourire, c'est primordial. Il faut qu’un feeling apparaisse, c’est la clé pour fidéliser les patients ! Que ce soit cool, qu’on s’entende bien… (...) Entre deux praticiens qui ont des résultats, le patient choisira le plus avenant. Quoi de plus normal ? On les traite pendant une demi-heure donc si ça ne passe pas humainement, c’est compliqué !”, conclut Guy Villemain… avec le sourire !

 

Dans cette étude, vous trouverez : 

  • Des conseils pour choisir où et quand s'installer ; 
  • les aides financières disponibles ; 
  • les outils et techniques pour développer sa patientèle. 

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Ce message est bien écrit mais ne reflète malheureusement pas la réalité d'une installation en libéral. Pour la bonne humeur vis à vis des patients, je suis tout à fait d'accord mais pour le reste la présentation à d'autres praticiens s'avère la plupart du temps difficile et source de concurrence déloyale interprofessionnelle, surtout en ville où l'offre de soin est importante et surtout envers l'ostéopathie.

ok , sauf que en demi heure de pratique c'est quand même hyper light , n'oubliez pas que l'on fait de l'humain

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